Le cinquième chapitre: La victoire.
« - Bon qu’elle est le bilan de nos pertes ? dit Luxentaï.
- Maître, la victoire nous est totale. Notre armée n’a subi aucune perte humaine, que quelques blessés. Quant au temple il n’a subit aucune destruction irréparable. Le plus grave est que la forêt a été sévèrement détruite mais plusieurs moines ont commencé à préparer des sorts de régénération.
- Et le monde extérieur ?
- D’après nos espionnes, ils ont été sévèrement touchés mais trouvent “ miraculeusement “ de la nourriture.
- Shadowstaï, vous auriez du m’écouter et nous laisser les aider à évoluer, les villages n’auraient pas été détruits.
- Prêtre, veuillez nous laisser, dit Shadowstaï d’une voix fantomatique.
Tous s’exécutèrent. Il ne restait plus que les deux chefs de la confrérie.
- Tu sais très bien que cela est contre nos lois. Si nous les aidons, nous deviendrons des Dieux et ils ne feraient plus d’effort pour évoluer, ils ne seraient que des esclaves.
- Mais nous possédons une grande sagesse que nous devons partager, les aider pour que plus jamais ils ne soient blessés.
- Non, la discussion est clause.
- Comment oses-tu me donner des ordres, tu… tu n’es pas et tu ne seras jamais le chef même si tu le veux.
- Tu te trompes, je ne suis pas assez fou pour rompre l’équilibre fragile.
- Laissons leur au moins le choix.
- Nous verrons, mais attendons qu’ils reconstruisent avant car sinon ils seront obligés de nous accepter.
Luxentaï parti vite et Shadowstaï se rapprocha d’une ombre d’où un moine sorti ;
- Surveille-le et préviens moi s’il tente quelque chose ? Et s’il le faut, tue le. »